Selon la définition officielle de l’association internationale pour l’étude de la douleur (IASP), « la douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle ou décrite dans ces termes. La douleur est un signal d’alarme du corps qui se déclenche face à une stimulation.
Selon l’INSERM, la douleur est la motivation de 60% des consultations, dont 30% qui sont chroniques. La douleur est dite aiguë ou chronique si elle persiste au-delà de 3 mois. On considère comme stimulation, les stimulations mécaniques (par exemple, doigt coincé dans la porte), chimiques (ex. odeur de gaz) ou thermiques (ex. ça brûle !). Dans ces situations, les terminaisons nerveuses touchées (les nocicepteurs) vont envoyer via la moelle épinière un signal au cerveau pour permettre une réaction (ouvrir la porte, fermer le gaz ou retirer sa main du four…).
Les douleurs deviennent des maladies lorsqu’elles persistent. Il en existe plusieurs formes : inflammatoires, nerveuses…
La douleur est appréciée différemment selon les individus : certains sont capables de sécréter des endorphines pour réguler le transfert de l’information de la douleur au cerveau. D’autres vont être beaucoup plus sensibles, on ne choisit pas !
Les douleurs principales concernent le dos, le cou et les épaules, les membres, la tête, l’abdomen. Elles sont souvent associées à une angoisse, du stress, des troubles du sommeil et une altération de la qualité de vie.
La réflexologie, la sophrologie, l’hypnose ont montré leurs bienfaits dans la réduction des douleurs ou dans une meilleure maîtrise. N’hésitez pas à prendre contact avec un thérapeute pour plus d’informations.